« Que justice soir faite » est mon premier album.
Projet aussi important qu’un voyage sur la lune en 1993, car tout était à faire dans ce style musical français. Le FUNK…enfin, le funk français à ma sauce.
Enregistré à la maison, avec du matériel de pointe mais de poche, j’ai pu laisser ma créativité prendre le dessus sur ma timidité. Un sacré moment dans ma vie.
Le point de départ.
J’ai donc le plaisir de vous annoncer la sortie de cette version ultra limitée.
C’est la première fois que cet album sort en vinyle, et cette version est différente de l’original en CD.
La pochette n’est pas la même, car je n’avais pas envie de scanner la photo du cd, mais de repartir de la photo de la machine à laver prise par Seb Janiak (sans le montage).
Il y a aussi une surprise à l’intérieure, une nouvelle d’Hubert Blanc-Francard imprimée sur un leporello imprimé des deux côtés .
Sur les pochettes intérieures on trouve des photos de Paolo Bevilaqua qui a assisté à la naissance de ce projet et des premiers concerts.
Il y a aussi un inédit que je n’ai pas voulu mettre à l’époque car je trouvais qu’il ressemblait trop à un titre d’un groupe magistral (à vous de me dire lequel!).
Et surtout, 50 exemplaires seront signés au hasard…et distribués aléatoirement aux heureux chanceux.
Le jeu… oui le jeu c’est la base de ma musique tout comme le plaisir de mettre des milliers de petits trucs partout dans le mix.
Sinclair.
Ma première bio dit que je suis né sous une console d’enregistrement ce qui n’est pas complètement faux. La vérité est que je n’ai pas tardé à sortir des disques. Mon premier album « que justice soit faite » date de 1993 et je sors encore des titres régulièrement. Une longue carrière faite d’explorations et de flirt avec le danger.
Beaucoup de concerts, un studio d’enregistrement, des récompenses, des musiques de films, des musiques de spectacles , un spectacle pour enfants, plusieurs maisons de disques , un procès contre un major , un label indépendant, un long passage à la télé et beaucoup de nuits blanches…